top of page
Une idée qui a fait son chemin

Peluche, l’ourson qui raconte aux enfants, est né de la main de Danielle Beaurain, en 1988. Sensible aux problèmes de l’enfance abandonnée, elle écrivait des contes, les éditait et les distribuait dans des maisons d’accueil "d’enfants du juge" et des hôpitaux par le biais du "Journal de Peluche".

En 1990, elle s’adresse à la Reine Fabiola qui lui offre 3 de ses contes à publier. En 1990, des amis de Danielle décident avec elle d’aller plus loin et ils fondent l’asbl Peluche. Différentes activités sont proposées à des enfants de maisons d’accueil et hôpitaux...

 

Peluche est officiellement une asbl depuis le 30 novembre 1990 et elle est devenue employeur en 2004. Son équipe de coordination compte actuellement 4 salariées (3 équivalent temps-plein).

Aujourd’hui, plus de 30 ans plus tard, Peluche offre ses services à environ 450 enfants et adolescents issus d’une quinzaine de maisons d’accueil différentes réparties sur la Région de Bruxelles-Capitale, agréées et subventionnées par la Direction de l’Aide à la Jeunesse de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Ce sont les passagers de Peluche.

 

Hébergés temporairement ou jusqu’à leur majorité dans des maisons d’accueil, ces passagers grandissent hors de leur famille qui ne peut leur offrir les conditions nécessaires à leur épanouissement. Ils sont pris en charge par des équipes éducatives.

Peluche veut participer à la satisfaction des besoins fondamentaux de ses passagers, en visant notamment la considération et la sécurité !

 

Peluche veut permettre aux passagers de sentir qu’ils existent en tant qu’individus et qu’ils méritent autant que d’autres enfants qu’on s’intéresse à eux et qu’on leur porte de l’attention gratuitement, volontairement (à la différence des équipes éducatives dont c’est le travail).

 

Peluche veut leur offrir un cadre serein pour qu’ils puissent s’exprimer, oser, expérimenter en toute sécurité physique et psychique, entourés d’adultes bienveillants, disponibles, fiables et à l’écoute.

Peluche estime que la solidarité est fondamentale pour rendre le monde meilleur. Elle aspire à ce que ses passagers deviennent des adultes responsables et épanouis qui, à leur tour, pourront devenir des citoyens engagés.

 

Peluche croit aussi que la différence est source d’enrichissement mutuel : les volontaires, tout comme les passagers, vont élargir leurs horizons en se rencontrant.

Peluche existe grâce à ses volontaires

Ils sont sa valeur ajoutée, son socle.

 

Les volontaires de Peluche ont envie de partager avec les passagers des moments de jeu, de découverte et d’apprentissage ; mais aussi des émotions.

Les passagers se sentent valorisés par le fait que des adultes bienveillants, disponibles, fiables et à l’écoute passent du temps avec eux, en dehors de tout contrat professionnel et sans vouloir se substituer à leur famille ni à leurs équipes éducatives.

 

Les passagers reçoivent la gratuité comme un cadeau précieux.

 

Les volontaires sont soutenus par les équipes professionnelles de Peluche. Leur parcours chez Peluche leur offre l’opportunité d’acquérir ou de développer de nouvelles compétences, de nouveaux savoir-faire et savoir-être. Via les formations obligatoires ou facultatives, les ateliers, les intervisions, Peluche accompagne les volontaires, leur permet de réfléchir ensemble à leur position dans cette relation parfois complexe avec les passagers, de partager leurs expériences et de s’enrichir de celles des autres.

Les volontaires de Peluche organisent seuls des activités de loisir pour de tout petits groupes d’enfants ou d’ados, ou font de l’accompagnement scolaire en individuel.

 

Peluche n’est donc PAS une association qui organise du parrainage ou du placement en famille d’accueil.

Peluche est sans étiquette politique, philosophique ni religieuse.
 

Merci aux 17 maisons daccueil qui font confiance à Peluche


Sauf mention contraire, ces 17 services sont des Services Résidentiels Généraux (SRG), agréés par le ministère de lAide à la Jeunesse de la Fédération  Wallonie-Bruxelles. Ils sont situés en Région de Bruxelles-Capitale.

Peluche a eu une antenne à Namur de 2018 à 2020. Les activités ont été reprises par l’asbl Oxybulle.

Les scènes représentées dans les vidéos sont fictives.

Maison d'accueil
Envie den savoir plus sur Peluche ?
Regarde ici le pitch de Stéphanie Delor.png

Écoute ces deux podcasts et plonge-toi dans l'univers de Peluche...

Dans le cadre du Festival des Libertés, la Ligue des droits humains a proposé la troisième édition de son procès-fiction : « On va où, maman ? ». Au centre de ce spectacle-conférence, sont évoqués le placement des enfants en institution, le manque de moyens du secteur de l’Aide à la Jeunesse et le rôle de la société dans la protection de l’enfant.

Épisode 1

La parole aux enfants qui vivent la réalité du placement. Ces enfants vivent dans l’une des maisons d’accueil avec laquelle Peluche est en partenariat.

Épisode 2

L’interview de Michèle Meganck, juge de la Jeunesse au tribunal de Bruxelles.

bottom of page